The free Violence WEBRING ...
Bon voilà bakemono m'a refilé la chaine de la violence gratuite que je refile à PARKSAPIN, FLOW et NOMADSHEEP ( qui va surement pas le mettre sur son site vu que c'est un site intelligent)....
Bein le camarade qui m'a raconté son histoire un soir qu'on avait trop bu, il est pas super bon en orthographe et en grammaire, il n'a pas eu la chance d'aller tres loin a l'ecole alors j'ai retranscrit en essayant de garder les fautes pour que ça soit plus fidèle ...
[ PS: Une version disons moins sincère que ce témoignage existe aussi ]
En arrivant devant le guichet, je laissait tomber mon gobelet et le reste du café à 30 centimes qui s’y trouvait dans une petite poubelle, je demandais a la jeune fille qui se trouvait derriere le petit bureau s’il existait des archives concernant les patients. Elle me répondit avec le ton d’une petite salope qui venait de finir de passer des examens administratifs et qui les avait réussi de justesse en pensant qu’elle sortait de l’E.N.A. qu’ils n’avaient rien sur place, qu’il fallait faire des recherches sur l’ordinateur parceque tout avait été informatisé … Elle fit tout de même la recherche je devait provoquer une sorte de sympathie chez elle . Elle mit tout de même un quart d’heure durant lesquelles je la voyais machonner un chewing gum avec une moue qui faisait plus penser a du dégout, comme s’il s’agissait de sucer la queue de son petit copain qu’elle aimait mais qui venait de guerrir d’une blénoragie d’où s’ecoulait encore un peu de pue. Elle finit sa recherche en me disant qu’elle avait trouvé ce que je cherchais … je la remerciait en utilisant tout les qualificatifs et superlatifs d’usage et lui demandais gentillement le resultat de ses recherches … elle me demanda d’abord une piece d’identité que je n’avais pas sur moi , je la regardais comme si elle avait jouit avant moi et q’elle m’avait laissé sur le coin du lit moi et ma bite en erection interrompant subitement le coît pour dormir en sussurant qu’elle devait bosser le lendemain … je la regardais d’un regard presque suppliant , mais il n’y avait rien a faire … elle me repeta seulement qu’il me fallait une piece d’identité … je me mis presque a genou quand elle me repondit qu’elle n’avait pas que cela a faire et qu’elle allait fermer dans 30 secondes.
C’est alors que dans un geste éclair tel un vautour qui fond sur sa proie je l’attrapais par les cheveux et saisis sa nuque , une ultime bulle de chewing gum claqua. Puis dans un geste de balancier je ramenais son visage en avant pour l’ecraser le plus violamment possible contre le bureau, elle etait bordelique et je n’avais pas vu le petit presse papier en verre en forme de tour eiffel dressé juste là, a ma grande surprise quand l’objet traversa l’œil et s’enfonça jusqu'à mi-cerveau , il n’y eu presque pas de sang, juste un bruit de sucion qui pourrait rappeler un bébé tetant sa mere. Je voulais la frapper de nouveau, mais a part quelques stylo bic qui se briseraient avant d’avoir pénétré la peau de cette vache, je n’avais rien a portée de main … en la regardant je saisis les pieds de la petite tour-eiffel plantée dans son œil et la retira d’un coup sec, ce que je n’avais pas eu le plaisir de voir avant se produisit, une bonne partie de sa cervelle restait accrochée a la pointe du petit monument, je ne me sentais pas coupable, (elle ne l’utilisait pas vraiment sa petite cervelle a ce que j’avais pu remarquer). Un filet de sang pas tres large mais régulier commença a inonder sa table de travail en imbibant tous les documents qui s’y trouvaient … puis je ne sait par quelle reflexe, etant donné que je tenais une bonne partie de sa cervelle au bout d’une pique , elle commenca par tressauter en hurlant. Ne sachant que faire je pris qu’elles feuilles de papier ramolies par le sang de cette fonctionnaire et remplit maladroitement sa bouche pour qu’elle ferme ce claque-merde. Elle souffla pour debarasser son œsophage a la recherche de quelques centilitres d’oxygene, tout en se débattant. J’avais les mains la main gauche occupée a maintenir le papier dans la bouche de cette garce , tandis que le bout de la petite tour eiffel fourré dans la cervelle m’enpechait de m’en servir correctement, n’ayant pas le temps de faire de maniere, j’arrachait le morceau de cervelle qui la recouvrait avec les dents, un morceau glissa dans ma gorge, (c’etait pas plus mauvais qu’une spécialité asiatique) et je frappais madame « je n’ai pas que ca a faire » jusqu'à ce qu’elle ressemble a un gruyere sanglant. Fouillant dans mes poche je pris mon briquet , il y avait une petite bouteille de dissolvant qu’elle devait utiliser pour ses manucures de « quand elle n’avit pas que ça a faire », je versait son contenu sur la dépouille et sur le bureau puis j’enflammais le tout … jamais je en m’etait senti aussi bien ….